Le chapitre du Zhuangzi traduit et présenté ici par Claude Larre et Élisabeth Rochat de la Vallée est un des fondements de la culture chinoise. " Quand il regagna la rive yang de la Fen, Tout perdu ne lui-même Yao avait oublié jusqu'à l'existence de son Empire ". Situé dans le sillage du Laozi, il présente une haute qualité littéraire et une sagesse largement dominée par le thème du non-agir.