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La presse parle des échanges de savoirs...

«Échange cours de tricot contre leçons de calcul. Mécanique contre français, cuisine contre bricolage, patins à roulettes contre grammaire, etc. Chacun est à la fois celui qui donne et celui qui reçoit. Et c'est parti. C'est même parti si loin que ces réseaux sont maintenant un mouvement dans lequel plusieurs dizaines de milliers de personnes échangent toutes sortes de savoirs» (L'École des parents).

«L'histoire valait d'être contée, et il fallait que Marc et Claire Héber-Suffrin s'en chargent, eux qui sont à l'origine de l'idée, aussi belle et simple que l'oeuf de Christophe Colomb : les Réseaux d'échanges réciproques de savoirs» (Alain Lebaube, Le Monde).

«Expérience d'un mouvement social parmi les plus innovants» (Joël Roman, Esprit).

«Ni diplôme, ni certificat, ni âge limite. Et en plus c'est gratuit. Vous ne devrez payer aucun abonnement, aucun frais, aucune adhésion. Le savoir que l'on vous offrira, vous le payerez en offrant votre propre savoir» (Valérie Dray, Réponse à tout).

«Que les offreurs et demandeurs de savoirs se fassent connaître ! Le réseau établit les connexions... Claire Héber-Suffrin, la pionnière, multiplie les conférences aux quatre coins de la France. Une sacré bonne femme. Fine et têtue» (Agnès Baumier, L'Express).

«Plus de trente mille personnes se côtoient dans ces drôles de réseaux où se troquent savoirs et compétences» (Monique Perrot-Lamaud, Le Monde de l'éducation).

«Pour les aficionados des réseaux, l'utilité première est personnelle. Elle est dans le plaisir des rencontres, chaleureuse, parce que les échanges de savoirs, ça fait pétiller à tous les coups» (Antoinette Lorenzi, Viva).








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